Tous les membres de la S.F.S. sont tenus d’exercer dans le respect des lois et des règlements régissant leur profession, dans le respect de l’intégrité et de la dignité des personnes en traitement et dans le respect de ce code de déontologie.
Le présent code engage tous les organismes ainsi que tous les membres individuels adhérents à la Société Française de Sophrologie.
La sophrologie dans ses branches médicales, paramédicales et sociales, est une discipline du domaine des sciences humaines. Elle implique la mise en oeuvre de moyens qui tendent vers l’autonomie et le mieux-être des patients/clients/élèves dans le respect des croyances de chacun (religieuses, politiques, philosophiques).
Cette préoccupation s’applique également au sophrologue s’exprimant en public :
Le Sophrologue doit exercer avec compétence et dans le respect des règles éthiques.
Pour cela, il doit :
Les sophrologues sont soumis au secret professionnel absolu concernant tout ce qui leur est confié dans l’exercice de leur profession. Ce secret s’applique dans les limites des lois et règlements (notamment quand des mineurs sont concernés).
Tout praticien doit informer les patients/clients/élèves de :
En outre ceux qui exercent en tant que sophro-thérapeute doivent justifier d’une formation en psychothérapie ou psychanalyse, ou d’un titre de psychologue clinicien ou de psychiatre, de la maîtrise des techniques de la sophrologie, d’une supervision et d’un contrôle de cas.
Toute infraction à une règle déontologique peut faire l’objet d’un recours devant la Société Française de Sophrologie, qui réunit une commission en vue de se prononcer sur le litige évoqué.
En cas de non-respect des règles déontologiques, des sanctions peuvent êtres envisagées à l’égard du sophrologue défaillant pouvant aller jusqu’a l’exclusion de la S.F.S.
Le plaignant doit être informé de ses possibilités de recours judiciaires.